03/10/2014
Séance du 2/10/2014
La bourse de Tunis a clôturé la séance du jeudi 2 octobre très proche de l’équilibre avec un Tunindex affichant une légère correction de -0,03% et une balance de variations à peine penchée ...
03/10/2014 Séance du 2/10/2014La bourse de Tunis a clôturé la séance du jeudi 2 octobre très proche de l’équilibre avec un Tunindex affichant une légère correction de -0,03% et une balance de variations à peine penchée vers la baisse (17 hausses contre 18 baisses). Le marché demeure peu animé, les volumes étant à 3,2 MDT seulement dont 1,5 MDT a été attiré par la seule valeur SOTIPAPIER. ATL s’est affiché en meilleure performance de la journée avec une hausse de 5.5% à 2,3 DT, suivi par ELECTROSTAR qui a confirmé sa bonne tenue de la veille, ajoutant 4,46% à 4,680 DT. SOTIPAPIER a gagné 2.91% à 4,940 DT. La société qui a connu une chute importante de son résultat net semestriel à 1,8 MDT contre 5,7 MDT l’année dernière, a communiqué la semaine dernière sur son plan d’investissement sur la période 2014-2018. Il en ressort des investissements matériels de l’ordre de 39,9 MDT dont 82% seront réalisés en 2015 et 2016. Du coté des baisses, ASTREE a cédé 3,28% à 51,500 DT. SOPAT a perdu 2,99% à 2,270 DT. Les Ciments de Bizerte s’est fléchi de 2,89% à 6,700 DT.
02/10/2014
Séance du 1/10/2014
Le baromètre des variations s’est légèrement orienté à la hausse à la clôture de la séance du 1er octobre avec un bilan de 24 hausses contre 20 baisses, aidant son indice phare le Tunindex à ...
02/10/2014 Séance du 1/10/2014Le baromètre des variations s’est légèrement orienté à la hausse à la clôture de la séance du 1er octobre avec un bilan de 24 hausses contre 20 baisses, aidant son indice phare le Tunindex à se redresser vers le haut de 0,02%, rompant ainsi une série de quatre baisses successives.
30/09/2014
Communiqué du conseil d’administration de la BCT réuni le 1er Septembre 2014
Le Conseil a examiné, au début de ses travaux, les développements récents de la conjoncture économique internationale, marquée notamment, par une accélération du rythme de l’activité aux ...
30/09/2014 Communiqué du conseil d’administration de la BCT réuni le 1er Septembre 2014Le Conseil a examiné, au début de ses travaux, les développements récents de la conjoncture économique internationale, marquée notamment, par une accélération du rythme de l’activité aux Etats-Unis au cours du deuxième trimestre de l’année 2014, contre une stabilité dans la Zone Euro, tout en signalant le repli des prix des produits de base et la poursuite de la décélération des taux d’inflation dans ces pays, ce qui a amené les principales banques centrales à maintenir leurs politiques monétaires accommodantes. A l’échelle nationale, le Conseil a constaté un ralentissement de la croissance économique, dont le taux, selon les dernières données publiées par l’I.N.S, a été de l’ordre de 2% en glissement annuel au cours du second trimestre 2014, contre 2,8% enregistré au cours de la même période de l’année précédente, ce qui porte ainsi le taux de croissance durant la première moitié de l’année à 2,1%. Hormis le secteur de l’agriculture et de pêche qui a connu un certain redressement (+1% contre -4% au cours du deuxième trimestre 2013), ce ralentissement du rythme de la croissance est imputable, essentiellement, à la poursuite du repli de la valeur ajoutée dans le secteur des industries non manufacturières (-5,8% contre -1,4%) et à la décélération de la croissance dans les autres secteurs, surtout les industries manufacturières (+0,1% contre +4,1%) et les services marchands (+3,8% contre +4%). En revanche, et en dépit de ces évolutions globalement négatives, le Conseil a noté que le rythme d’activité, fut-il faible, que l’économie nationale a pu préserver malgré une conjoncture internationale, régionale et intérieure difficile, révèle une capacité de résilience, qui devrait être consolidée. Dans ce contexte, une amélioration sensible des principaux indicateurs du secteur touristique a été observée, au cours du mois d’août 2014, avec une augmentation des recettes en devises, au cours des vingt premiers jours du même mois, de 40,1% contre 12,9% une année auparavant, et ce en relation avec l’accélération des entrées des visiteurs maghrébins (+107,8% contre -48,2%). Néanmoins, et dans le cadre du suivi des indicateurs du secteur extérieur, le Conseil a relevé l’absence de prémices de détente au niveau du déficit courant. Bien au contraire, ce déficit a connu un élargissement de 29,3% au cours des sept premiers mois de l’année, pour atteindre 4.950 MDT ou l’équivalent de 6% du PIB contre 3.829 MDT et 5% du PIB au cours de la même période de l’année précédente. Cette tendance est imputable à la dérive continue du déficit de la balance commerciale, qui s’est accru de 18,2% en relation avec l’élargissement persistant du déficit énergétique d’une part, suite au repli des exportations du pétrole brut (-11%) et la hausse des achats du gaz naturel (+66,9%), et de l’aggravation du déficit de la balance alimentaire (+68,8%) d’autre part. A cet égard, les importations des produits alimentaires ont été maintenues à des niveaux élevés malgré un repli de 5,7% d’une année à l’autre. Cependant, ces évolutions n’ont pas affecté directement la situation des avoirs nets en devises qui ont été maintenus à un niveau acceptable, soit environ 12.642 MDT ou l’équivalent de 113 jours d’importation à fin août 2014, contre 104 jours à la fin du même mois en 2013, et ce, grâce à l’amélioration des flux de recettes en devises, surtout au titre de la mobilisation de ressources d’emprunts extérieurs importantes. S’agissant de l’évolution des prix, le Conseil a constaté une hausse du taux d’inflation, au mois de juillet 2014, qui a atteint 6% en glissement annuel contre 5,7% le mois précédent, après avoir été limité à 5% en mars dernier, et ce en rapport avec l’ajustement des prix de certains produits administrés, outre la poursuite de l’évolution des prix de produits libres à un rythme accéléré. Pour ce qui est de l’inflation de base (hors produits alimentaires et énergie), elle a connu également une accélération de son rythme d’évolution qui a atteint 4,6% au cours du même mois, contre 4,3% le mois passé. Lors de l’analyse de l’activité du secteur bancaire, le Conseil a noté une évolution positive du rythme des dépôts au cours des sept premiers mois de l’année (+6% contre +2,6% durant la même période de 2013), en rapport avec le regain du dynamisme des dépôts à vue et la poursuite de l’accroissement des dépôts à terme. Egalement, les concours à l’économie ont enregistré une hausse sensible de leur rythme d’évolution, au cours de la même période (+6,5% contre +3,9% un an plus tôt), en relation avec la reprise des crédits à court terme et la consolidation du rythme d’évolution des crédits à moyen et long termes, outre le ralentissement du rythme d’évolution des crédits impayés et des crédits de consolidation. Quant aux évolutions monétaires, le Conseil a constaté une certaine détente des besoins des banques en liquidité, au cours du mois d’août 2014, ce qui a eu pour effet de réduire le volume global des interventions de la Banque Centrale sur le marché monétaire à environ 4.297 MDT à la fin du mois contre 4.979 MDT à fin juillet dernier. Cette évolution s’est traduite par une baisse du taux d’intérêt moyen sur ce marché d’une fin du mois à l’autre (4,55% contre 4,98%). Concernant le marché des changes, le Conseil a noté une certaine reprise de la valeur du dinar par rapport à l’euro, en août 2014, qui a connu ainsi une appréciation de 0,4% pour s’établir, le 28 du mois, à 2,2941 dinars, alors qu’il a enregistré une légère baisse vis-à-vis du dollar américain (-1,1%) dont le cours a atteint 1,7383 dinars au même jour, et ce, en rapport avec une amélioration relative de la liquidité sur le marché des changes. En comparaison avec le début de l’année, la baisse du dinar a atteint 1,2% contre l’euro et 5,3% par rapport au dollar. A la lumière de l’ensemble de ces évolutions, le Conseil ne peut qu’insister, de nouveau, sur l’ampleur des risques liés aux évolutions négatives du secteur extérieur suite au dérapage continu du déficit de la balance commerciale; ce qui exige la mise en place, d’urgence, de mesures idoines à même de réduire le rythme des importations, parallèlement à l’intensification de l’effort à l’exportation, et a décidé de maintenir inchangé le taux d’intérêt directeur de la Banque Centrale.
30/09/2014
La Banque Mondiale passe en revue les difficultés que connait l’économie Tunisienne
Un nouveau rapport sur l’économie Tunisienne vient d’être publié par la Banque Mondiale, expliquant comment l'héritage économique de la Tunisie empêche le pays de développer son immense ...
30/09/2014 La Banque Mondiale passe en revue les difficultés que connait l’économie TunisienneUn nouveau rapport sur l’économie Tunisienne vient d’être publié par la Banque Mondiale, expliquant comment l'héritage économique de la Tunisie empêche le pays de développer son immense potentiel et mettant en évidence la nécessité urgente d'adopter un modèle de croissance plus ouvert pour assurer le succès de la transition. Selon le rapport de la Banque Mondiale, la Tunisie a accompli des progrès politiques considérables au cours des trois ans qui ont suivi la révolution, cependant, si le pays ne change pas de modèle économique, il court le risque de s'enfermer dans un cycle de faible croissance et de chômage élevé. Le rapport intitulé « La révolution inachevée - Créer des opportunités, des emplois de qualité et de la richesse pour tous les Tunisiens » constitue la première étude complète de l'économie tunisienne réalisée par la Banque mondiale depuis la révolution de 2011 ; elle comprend notamment une nouvelle analyse de la politique d'investissement et de la concurrence, du système financier, du droit du travail et de la politique agricole en Tunisie. Le rapport conclut que l'application de réformes dans ces domaines pourrait contribuer à stimuler la croissance et à favoriser la création d'emplois de qualité dans le pays. Les auteurs du rapport, Antonio Nucifora et Bob Rijkers, tous deux économistes à la Banque mondiale, considèrent que la politique d'investissement de la Tunisie présente l'excellent exemple d'une politique économique bien intentionnée qui n'a pas donné les résultats escomptés : créer des emplois de qualité et rendre la Tunisie plus compétitive à l'échelle mondiale. De plus, un immense pan de l'économie du pays reste largement fermé à la concurrence. Si l'idée généralement répandue est que cela contribue à protéger les entreprises tunisiennes, la réalité indique que cette situation profite principalement à un petit groupe d'individus. C’est la raison pour laquelle les exportations tunisiennes ont augmenté au cours des deux décennies écoulées sans pour autant évoluer au même rythme que celles d'autres pays émergents. Le secteur a en fait peiné à dépasser le seuil de la production à faible valeur ajoutée et des emplois mal rémunérés. Aujourd'hui, le défi que doit relever la Tunisie est d'attirer plus d'investissements et de créer des emplois mieux rémunérés et en plus grand nombre pour les jeunes diplômés bien formés qui, bien trop souvent, restent en marge de l'économie. « La Tunisie a plus à offrir que des emplois peu rémunérateurs et précaires », déclare Antonio Nucifora. « Notre étude montre que la suppression de certaines des barrières qui limitent la participation de nouvelles entreprises à l'activité économique, alliée à la concurrence accrue, pourrait plus que doubler le nombre d'emploi créés avec un apport de plus de 100 000 emplois supplémentaires par an, faisant de la Tunisie le « Tigre de la Méditerranée. » Le rapport indique en outre que la levée des restrictions imposées aux entreprises à l'entrée et la simplification du cadre réglementaire dans lequel elles opèrent pourraient contribuer à accroître et accélérer la création d'emplois, à raison de 50 000 emplois par an. Parallèlement, la réforme du secteur bancaire pourrait libérer jusqu'à 10 milliards de dollars de financements pour les entreprises tunisiennes sur une période de dix ans, ce qui permettrait de créer quelque 38 000 nouveaux emplois par an. La réforme de la politique industrielle et des secteurs de l'agriculture et des services pourrait par ailleurs déboucher sur la création d'emplois supplémentaires.
30/09/2014
Le mégaprojet "Tunisia Economic City" prévoit la création de 250.000 emplois sur 10 ans
Le mégaprojet "Tunisia Economic City", qui consiste en l'aménagement dans la localité d'Enfidha (Centre-Est de la Tunisie), d'une grande cité économique, touristique, sociale et culturelle internationale, a été ...
30/09/2014 Le mégaprojet "Tunisia Economic City" prévoit la création de 250.000 emplois sur 10 ansLe mégaprojet "Tunisia Economic City", qui consiste en l'aménagement dans la localité d'Enfidha (Centre-Est de la Tunisie), d'une grande cité économique, touristique, sociale et culturelle internationale, a été présenté mardi à Tunis lors d'une conférence de presse. L'idée de ce projet est, selon ses fondateurs, de créer d'une manière progressive une "cité intelligente" qui s'érigera comme un portail économique et touristique de la Méditerranée et comme un point de jonction entre l'Est et l'Ouest et entre le Sud et le Nord. D'après ses promoteurs, le projet pourrait créer dans l'ensemble 250.000 emplois sur les 10 premières années. Le président fondateur de ce projet, Riadh Khalifa Toukabri a assuré à la presse que "ce projet permettra de doter la Tunisie, en particulier et toute la région méditerranéenne, d'une nouvelle identité économique moderne et d'une dimension universelle". "Après une analyse globale et régionale approfondie et des études détaillées nous avons pensé à créer des opportunités d'investissement moderne et développé dans le cadre d'un projet économique mondial, cohérent et ambitieux englobant plusieurs secteurs d'activités", a ajouté M. Toukabri. "Nous avons oeuvré, en coordination avec nos partenaires, à drainer des groupes renommés dans les domaines de l'hôtellerie, les loisirs, la médecine, les médias et dans d'autres activités qui pourront faire de ce projet un pôle international unique", a indiqué M. Toukabri. De son côté, le vice-prince héritier saoudien, Fahd Ben Mogren, co-fondateur du projet a soutenu que "Tunisia Economic City" allait contribuer au développement de tout le système économique tunisien, doter le pays d'une dimension géo-économique et l'ériger en tant que zone de libre échange internationale. |
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